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Actuellement, près des 10% des Français implantent leurs entreprises à l’étranger pour bénéficier des avantages qui ne sont pas offerts dans le pays. Toutefois, une telle décision mérite mûre réflexion puisqu’il y a toujours des risques à prendre. Ainsi, avant de franchir le pas, il convient de maîtriser les étapes à suivre.

Tout ce qu’il faut savoir avant que tout puisse devenir réalité

Le laissez-passer

Avant de programmer un projet de création d’entreprise hors du pays à l’exception de ceux de l’Union européenne, il faut d’abord vous renseigner sur les démarches à suivre pour l’obtention de visa adapté à votre objectif d’implantation. Sans celui-ci, il vous sera impossible de travailler dans le pays choisi. En effet, si dans certains pays, la procédure est facile, dans d’autres, elle peut prendre beaucoup de temps avec un quota annuel. Il convient donc de privilégier les territoires moins stricts à ce sujet.

L’étude du marché

Bien avant la concrétisation du projet, l’analyse du marché est une étape incontournable d’implantation d’entreprise. Faire un achat de trafic internet ciblé sur steerfox.com par exemple est un des moyens pour pouvoir gagner en visibilité. Toutefois, il faut vérifier si plusieurs demandes relatives à l’activité de la future société sont à prévoir. Et surtout, il est très important de connaître la tendance commerciale des acteurs nationaux pour établir une stratégie de communication efficace. Si par exemple, les opérateurs locaux prônent l’engagement écologique, le développement durable publicitaire est la technique de communication adaptée, et ce, grâce à la distribution des objets publicitaires écologiques.

Les contextes

Pour un démarrage rapide, mieux vaut inclure l’environnement économique de la destination dans les critères de choix. Effectivement, il faut choisir un pays avec un taux de chômage assez faible et des dépenses de consommation élevées. Mais aussi, vous pouvez orienter vos projets vers les territoires ayant une classe moyenne grandissante, une inflation stable et des revenus en progression globale. A par cela, il ne faut pas oublier les contextes administratifs et juridiques qui diffèrent fortement d’un pays à un autre. Vous devez vous informer suffisamment sur les démarches de création, leurs délais et leurs coûts avant de jeter l’encre. Les formalités qui en découlent peuvent être réglées en quelques jours dans certains pays au lieu de plusieurs mois chez d’autres, ce qui rend l’opération moins coûteuse.

Envie de concrétiser son rêve aux Émirats Arabes Unis ?

Dernièrement, l’étude de la CNUCED a confirmé que les EAU ou Émirats arabes unis sont les seconds receveurs d’IDE, investissements directs à l’étranger, dans le monde. Compte tenu des avantages offerts aux investisseurs étrangers, ce n’est pas une situation étonnante. En effet, dans ces pays, les démarches suivies pour l’octroi de visa de travail sont simplifiées. Puis, les bénéfices des entreprises ne sont pas imposables, à l’exception des sociétés bancaires, pétrolières et d’assurance. De même, les revenus des particuliers échappent au régime fiscal. De plus, les mouvements de capitaux sont libres puisque les opérations de cession d’actifs financiers ne sont pas taxées et le rapatriement des capitaux n’est pas cadré. Dans les Émirats, la main-d’œuvre de qualité est de moindre coût. Les droits de douane sur les marchandises restent très faibles. En outre, les infrastructures informatiques, de transport et de télécommunication sont de haut niveau. Pour les zones franches, il n’y a pas de taxe sur l’importation et l’exportation. Mais aussi, un service d’accompagnement est offert aux nouveaux investisseurs durant la phase de recrutement d’employés.